Baisse du niveau général, affaiblissement de la connaissance des langues, programmes surchargés, favorisant l’apprentissage à la réflexion  et au développement de l’esprit critique, une réforme globale devrait être engagée, associant les enseignants avec  la participation des différents acteurs de la société civile et  les partis. Or, actuellement, les discours fondateurs des deux grands partis de la coalition gouvernementale excluent des visions partagées sur la question. De ce point de vue leurs conflits de culture sont irréductibles par définition.

Autre fait important, il faudrait veiller à restaurer la gratuite de l’enseignement du régime bourguibien, que le practice des heures supplémentaires et l’augmentation des exigences (livres couteux, vente de tenues par certains établissements, financement des fêtes etc.) mettent en cause.   Ne perdons pas de vue que les parents peinent à entretenir leurs enfants dans le jardin publique, l’école primaire et les collèges.


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